il fait déjà jour
ne pas vouloir dormir, parce-que les heures les plus tardives sont les meilleures. les moins contrôlées, les plus ailleurs aussi.
les juste-plaisir. sans ça, comme l'impression que je reste "au ras pâquerettes".
mais pas la vraie vie ou alors drôle de vie, courte vie.
suis fatiguée et pousse la chose. trop loin et humeurs changeantes, envies changeantes, dépendances changeantes, comme un air de parasite.
et le luxe dégueulasse de pouvoir penser ça et de pouvoir se poser ces questions. un air de j'en ai pas assez et j'en veux plus mais pas nécessaire.
fatigué cerveau et envie de fatiguer cerveau parce-que c'est plus simple, plus aisé, tu vois, c'est une excuse.
quelque chose d'excusé, de moins, pour moi. comme ces phrases pas construites, plus facile. envie de génie à la place du vide, grande ambition quoi.
remédiation par la fumée, la chimie et un certain naturel.
il fait déjà trop jour.